Mise en scène Julie Berès assistée de Valérie Malet
Dramaturgie Julie Berès, Nicolas Bigards, Valérie Malet
Scénographie Michel Launay
Lumières Michel Bertrand
Son David Segalen
Vidéo Christian Archambeau
Plasticienne Juliette Barbier
Créé et interprété par Béatrice Cheramy, Thomas Cloarec, Elsa Dourdet, Jocelyn Lagarrigue, Pascale Oudot, Julie Pilod, Igor Skreblin, Philippe Vieux
Production déléguée Cie Les Cambrioleurs
Coproduction Théâtre National de Chaillot, Paris – Théâtre National de Toulouse – La Filature, scène nationale de Mulhouse – Le Théâtre de la Madeleine, Troyes – EPPHGV La Villette, Paris
Avec le soutien de DRAC Île-de-France – Arcadi (Action régionale pour la création artistique et la diffusion en Île-de-France) – DICREAM – La Fondation Beaumarchais – ANPE Île-de-France – Forum culturel du Blanc-Mesnil
Ce poème visuel (bribes de voix, sons démultipliés, contre-jours bleutés percés de flashes aveuglants, projections vidéo) nous entraîne dans le paysage mental d’un homme, plongé dans le coma. Peut-être traverse-t-il une EMA (Expérience de Mort Approchée), zone d’incertitude où la réalité se dissout, donnant à voir et à entendre toutes sortes de choses : des monstres, des anges, des paysages et des visages, du vide et du trop-plein…
Avec e muet, dit Julie Berès, « j’ai voulu offrir une trame dramaturgique forte, une partition musicale, un espace de projection pour les images mentales des spectateurs. »
Théâtre National de Chaillot, Paris (20 représentations / Mars 2004)
Théâtre de la Madeleine, Troyes (3 représentations / Avril 2004)
La Filature, Mulhouse (3 représentations / Mai 2004)
Théâtre National de Toulouse (4 représentations / Décembre 2004)
Le Kremlin-Bicêtre (2 représentations / Novembre 2004)
Palais des Arts, Vannes (1 représentation / Décembre 2004)
« Un homme dans le coma. L’histoire de e muet, s’il en est, tient en peu de mots. Mais comme l’indique le titre avec une enfantine malice, la lettre ici s’efface pour laisser la voie à un univers fantasmagorique inarticulé de sensations rêves, peurs ou réminiscences. »
Libération, Maia Bouteillet, 29 mars 2004
« Avec e muet, Julie Berès invite à « perdre connaissance » dans un voyage sensitif, guidé par des souvenirs météores. Une traversée fantasmagorique en forme de poème visuel. »
Mouvement, Naly Gérard, avril 2004
